Et je tombe de haut.
Le cœur serré.
Jusqu’au cou.
Quand tu m’aides à m’asseoir pour me relever.
Reflet miroitant de l’altitude de ma faiblesse.
Quand je t’assiste à m’accouder.
Les poings fermés. Sur ton épaule.
Solide.
Haute au crépuscule de ma renverse.
Et à bras le corps.
J’essaie de ne pas succomber.
Comme si te laisser entrer ne signifiait que ma propre sortie.
Comme si te laisser sortir signifiait ma propre fin.
Comme si tu incarnais les réponses.
Au soluble.
De tes solutions.
Qui me posent problème.
Et quand je ne plies pas.
Sous ton poids.
Qui ne veut que m’élever.
Quand je persiste à ne pas te laisser me guider.
Par la crainte de te croire me noyer.
Je piétine.
Tu piétonnes.
Signalises les voies.
Que j’encombre.
Et je traverse sans regarder.
Au risque de nous faire renverser.
Pour croire te renvoyer l’appareil.
Débranché.
De tout lien.
Comme si ta main.
Était la corde.
Raide.
Qui me pendait au nez.
Mon indépendance.
Peur de perdre mon ego.
Dans ta légalité de m’assister.
Dans l’égalité que tu veux dessiner.
Dans l’inhérente équation que je dissous.
À bras le cœur.
Je ne peux me défaire.
De te croire prendre le pas sur moi.
De n’être qu’une pale copie noircie de ton ombre.
Qui voudrait me mettre en lumière.
Quand je n’y broie que du noir.
Comment accepter que tu m’aides sans me perdre ?
Quand je me vois faiblir.
Comment te laisser entrer de force quand je n’en ai plus,
Et que je persiste à te combattre.
Quand je baisse les bras pour que tu me portes ?
Quand serons nous égaux?
Peut-être quand je cesserai de vouloir te dépasser.
Quand aurai-je terminer de te faire payer ce que je te dois ?
De jouer au dupe quand tu ne serais que ma dope pour me sentir mieux ?
Car, il est bien vrai que je me sens plus bas que terre.
Et le moins que rien de ton tout.
Quand je réalise que je lutte à vouloir être seul. Quand tu es là. Pour te chercher. Quand je réalise que mon cœur s’arrête. Quand tu n’es plus là. Et qu’il te bat à la chamade.
Quand je réalise que je me cache derrière toi. Quand j’ai peur. De me mettre en avant. Dans mes pas de coté.
Quand je réalise que je suis lâche. Quand tu me lâches la main. Et que je fais marche arrière. Pour récupérer la tienne.
Quand je réalise que je suis hors de moi quand tu es là. Et quand tu ne l’es pas.
Quand je percute que je ne sais plus faire seul. Sans toi. Et avec toi.
Quand je percute que je ne sais plus être seul. Sans toi. Avec moi.
Le cœur serré.
Jusqu’au cou.
Quand tu m’aides à m’asseoir pour me relever.
Reflet miroitant de l’altitude de ma faiblesse.
Quand je t’assiste à m’accouder.
Les poings fermés. Sur ton épaule.
Solide.
Haute au crépuscule de ma renverse.
Et à bras le corps.
J’essaie de ne pas succomber.
Comme si te laisser entrer ne signifiait que ma propre sortie.
Comme si te laisser sortir signifiait ma propre fin.
Comme si tu incarnais les réponses.
Au soluble.
De tes solutions.
Qui me posent problème.
Et quand je ne plies pas.
Sous ton poids.
Qui ne veut que m’élever.
Quand je persiste à ne pas te laisser me guider.
Par la crainte de te croire me noyer.
Je piétine.
Tu piétonnes.
Signalises les voies.
Que j’encombre.
Et je traverse sans regarder.
Au risque de nous faire renverser.
Pour croire te renvoyer l’appareil.
Débranché.
De tout lien.
Comme si ta main.
Était la corde.
Raide.
Qui me pendait au nez.
Mon indépendance.
Peur de perdre mon ego.
Dans ta légalité de m’assister.
Dans l’égalité que tu veux dessiner.
Dans l’inhérente équation que je dissous.
À bras le cœur.
Je ne peux me défaire.
De te croire prendre le pas sur moi.
De n’être qu’une pale copie noircie de ton ombre.
Qui voudrait me mettre en lumière.
Quand je n’y broie que du noir.
Comment accepter que tu m’aides sans me perdre ?
Quand je me vois faiblir.
Comment te laisser entrer de force quand je n’en ai plus,
Et que je persiste à te combattre.
Quand je baisse les bras pour que tu me portes ?
Quand serons nous égaux?
Peut-être quand je cesserai de vouloir te dépasser.
Quand aurai-je terminer de te faire payer ce que je te dois ?
De jouer au dupe quand tu ne serais que ma dope pour me sentir mieux ?
Car, il est bien vrai que je me sens plus bas que terre.
Et le moins que rien de ton tout.
Quand je réalise que je lutte à vouloir être seul. Quand tu es là. Pour te chercher. Quand je réalise que mon cœur s’arrête. Quand tu n’es plus là. Et qu’il te bat à la chamade.
Quand je réalise que je me cache derrière toi. Quand j’ai peur. De me mettre en avant. Dans mes pas de coté.
Quand je réalise que je suis lâche. Quand tu me lâches la main. Et que je fais marche arrière. Pour récupérer la tienne.
Quand je réalise que je suis hors de moi quand tu es là. Et quand tu ne l’es pas.
Quand je percute que je ne sais plus faire seul. Sans toi. Et avec toi.
Quand je percute que je ne sais plus être seul. Sans toi. Avec moi.